BMO Groupe financier a signé aujourd’hui les Principes d’autonomisation des femmes de l’ONU, une initiative conjointe de ONU Femmes et du Pacte mondial de l’ONU. Darryl White, chef de la direction, BMO Groupe financier, a signé les principes à la succursale principale de Vancouver au nom de la Banque. BMO est la première banque canadienne à signer les Principes d’autonomisation des femmes.
« BMO contribue à l’avancement des femmes depuis de nombreuses années, que ce soit par le travail de longue date que nous accomplissons pour assurer un meilleur équilibre entre les sexes dans notre organisation, ou par l’offre de 3 milliards de dollars en capital aux femmes entrepreneures de partout au Canada, a déclaré M. White.
« Notre travail se poursuit. En signant les principes d’autonomisation des femmes des Nations Unies, nous affirmons notre engagement à favoriser les occasions économiques pour tous et à donner aux femmes et aux filles le pouvoir d’agir. »
Lancés en 2010 par ONU Femmes et le Pacte mondial de l’ONU, les Principes d’autonomisation des femmes offrent une plate-forme pour mobiliser les entreprises dans la mise en œuvre des objectifs de développement durable. Ces principes guident les entreprises – quels que soient leur taille, leur secteur ou leur emplacement géographique – dans la promotion de l’égalité des sexes et de l’autonomisation des femmes dans le milieu de travail, le marché et la communauté. Les Principes d’autonomisation des femmes fournissent une perspective de genre permettant aux entreprises d’analyser leurs initiatives, points de repère et pratiques de production de rapports, puis d’élaborer ou d’établir des politiques et des pratiques visant à réaliser l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes.
Signer les principes permet à BMO de montrer l’exemple et de participer à d’importantes études de cas qui permettent à d’autres organisations d’établir des cadres pour faire avancer leur propre programme d’égalité des sexes.
Les Principes d’autonomisation des femmes :
Principe 1 : Avoir une direction favorable à l’égalité des sexes au plus haut niveau des entreprises.
Principe 2 : Traiter tous les hommes et les femmes de manière équitable au travail – respecter et appuyer les droits de l’homme et la non-discrimination.
Principe 3 : Garantir la santé, la sécurité et le bien-être des travailleurs des deux sexes.
Principe 4 : Promouvoir l’éducation, la formation et le développement professionnel des femmes.
Principe 5 : Mettre en œuvre des pratiques permettant d’autonomiser les femmes au niveau du développement des entreprises, de la chaîne logistique et du marketing.
Principe 6 : Promouvoir l’égalité grâce à des initiatives communautaires et à la mobilisation.
Principe 7 : Mesurer et faire rapport publiquement sur les progrès réalisés en faveur de l’égalité des sexes.
« Nous nous tournons vers le secteur privé pour générer de l’innovation, des emplois et des programmes de financement qui, nous l’espérons, permettront de combler les écarts entre les sexes dans le monde du travail et de faire progresser les objectifs de développement durable. Cela aidera les femmes, les familles et les communautés, et c’est certainement bon pour les résultats nets des entreprises », a ajouté Amina J. Mohammed, vice-secrétaire générale des Nations Unies. « Les entreprises qui investissent dans les femmes et soutiennent leur leadership et leur processus décisionnel, et s’engagent en faveur de l’égalité des sexes surpassent généralement leurs concurrentes. Nous croyons que les [Principes d’autonomisation des femmes] offrent un grand potentiel de changement. Je suis heureuse de préciser que près de 2 000 PDG du monde entier se sont déjà engagés envers eux. Il nous appartient maintenant de veiller à ce qu’ils soient suivis d’actions et de mesures de reddition de comptes. »